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Un adolescent frappe dans un gant tenus par un responsable. Des personnes attendent leur tour.
Il est possible de pratiquer la boxe avec un entraîneur au 2e Marché de la dopamine.PHOTO : Radio-Canada / Martin Guindon
Publié le 8 mai 2024

La Corporation de développement communautaire d'Amos propose de faire le plein de dopamine ce mercredi. Dans le cadre de la Semaine nationale de la santé mentale, un Marché de la dopamine est organisé cet après-midi au parc de la Cathédrale de 13 h à 19 h.

La coordinatrice de l’événement et agente de développement à la Corporation de développement communautaire, Jenny Sylvain, affirme que le marché permet de découvrir des activités pour stimuler la dopamine.

On sait que la dopamine c’est une des quatre hormones du bonheur et c’est celle qui est sécrétée quand on fait des activités qui nous font du bien dans le maintenant, rappelle-t-elle. Se faire couler un café en se levant le matin, une petite dose de dopamine!

Un adolescent s'élance avec une masse pour faire sonner une cloche. Des adolescentes pédalent sur un petit vélo.

Les adolescents étaient en quête de dopamine en essayant de faire sonner la cloche d'un élan de masse.

Radio-Canada / Martin Guindon

« Notre but c’est vraiment d’outiller la population à connaître plein de petites actions qu’ils peuvent faire pour sécréter cette dopamine-là qui sont des facteurs de protection pour la santé mentale. »

— Une citation de  Jenny Sylvain, agente de développement à la Corporation de développement communautaire

Différentes stations permettent de prendre un café, de pédaler sur de petits vélos pour cumuler les kilomètres en groupe.

Une personne remplis un pot de terre pour sa plante.

Au bar à plantes, les gens peuvent notamment mettre une pousse en pot avec de la terre noire.

Radio-Canada / Martin Guindon

Il va y avoir une oeuvre collective, décrit-elle. C’est une doudou avec des carrés dessus que les gens peuvent écrire et dessiner des choses qui leur font du bien. On va avoir une zone active pour les touts petits avec des bulles, des cordes à danser, des petites actions pour les faire bouger. On va avoir un feu pour écrire nos soucis sur un papier et les jeter dedans pour les faire brûler.

Jenny Sylvain souligne qu’environ 300 personnes ont participé aux activités lors de la première édition.

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